Acide urique : produit final naturel de la dégradation des tissus de l’organisme et de certains aliments, en particulier les protéines. Il est généralement éliminé du sang par les reins, et éliminé du corps dans l’urine.
Adénome de la prostate : exemple d’une stase urinaire provoquée par un obstacle et qui peut engendrer, au long cours, la formation de calculs.
Antalgique (ou analgésique) : médicament destiné à réduire la douleur.
Antispasmodique : médicament destiné à traiter les spasmes.
Anti-inflammatoire : médicament destiné à soulager différents types de douleurs.
Arthrite : inflammation aiguë ou chronique des articulations.
Calcémie : taux de calcium dans le sang.
Calciurie : quantité totale de calcium qui est éliminée pendant une durée donnée à l’intérieur des urines.
Calcul caliciel : il est situé dans un des calices d’un rein.
Calcul pyélique : il est situé dans le pyélon d’un rein.
Calices : ils constituent la partie des voies excrétrices des reins qui donne naissance au pyélon.
Cathétérisme urétéral : sonde permettant à l’urine de s’écouler librement en levant une obstruction de l’uretère.
Cavités pyélocalicielles : cavités de recueil des urines dans les reins.
Colique néphrétique : douleur brutale et très forte dans la région lombaire, provoquée par l’obstacle que constituent les calculs dans l’évacuation des urines et donc par la distension des cavités rénales.
Crénothérapie : ensemble des techniques et des savoirs mis en œuvre lors d’une cure thermale (technique qui facilite la migration des calculs).
Cystoscopie : exploration de la paroi interne de la vessie (muqueuse).
Épithélium urinaire : tissu hautement spécialisé qui tapisse la surface et les cavités de l’organisme ; il présente des cellules superficielles dont les membranes plasmiques sont plus épaisses que la plupart des cellules, de sorte que le revêtement est imperméable à l’urine.
Goutte : maladie liée au métabolisme de l’acide urique, dont la manifestation la plus caractéristique est une arthrite.
Hématurie : présence de sang dans l’urine.
Hémodialyse : traitement essentiel de l’insuffisance rénale qui consiste à épurer le sang du patient à la place des reins défectueux.
Hydrothérapie : elle regroupe tous les traitements qui utilisent l’eau à des fins thérapeutiques.
Hypercalciurie : élévation du taux de calcium dans l’urine.
Hypercalciurie idiopathique : élévation du taux de calcium dans l’urine sans cause apparente.
Hyperparathyroïdie : sécrétion accrue d’hormones parathyroïdes.
Hyperuricémie : niveau élevé d’acide urique dans le sang.
Hypervitaminose (ou survitaminose) : intoxication due à une surconsommation de certaines vitamines (A,D,E et K), bien au-delà des apports journaliers recommandés.
Hypothyroïdie : production anormalement élevée d’hormones par la glande thyroïde.
Inflammation : réaction du système immunitaire stéréotypée à une agression externe ou interne.
Lithiase bilatérale : lithiase affectant les 2 reins (insuffisance rénale irréversible).
Lithiase idiopathique : lithiase sans cause apparente.
Lithiase rénale : cristallisation des urines.
Lithiase urinaire : présence d’un ou de plusieurs calculs rénaux dans les voies urinaires.
Lithotritie extracorporelle : Intervention opératoire destinée à réaliser la fragmentation des calculs rénaux de moins de 2 cm et certains calculs de l’uretère pour les réduire en fragments (ils seront ensuite éliminés par les voies naturelles).
Méat urétral : orifice externe de l’urètre.
Métabolite : agrégation des molécules éliminées avec l’urine.
Miction : action d’uriner.
Ostéolyse : destruction du tissu osseux.
Phosphorémie : taux du phosphore dans le plasma sanguin.
Pyélon (ou bassinet du rein ou petit bassin du rein ou cavité pyélique) : poche membraneuse située derrière l’artère et la veine rénales, au niveau de l’échancrure de la scissure du rein.
Pyélonéphrite : surinfection des urines dans le rein.
Septicémie : infection généralisée provoquée par une bactérie.
Spasme : contraction musculaire brusque, violente et involontaire.
Stase urinaire : absence de circulation des urines.
Transplantation rénale : intervention chirurgicale consistant à remplacer un rein défectueux par un rein sain, prélevé sur un donneur.
Uretères : canaux qui acheminent l’urine des reins vers la vessie.
Urétéroscopie : technique opératoire qui consiste à introduire un endoscope (urétéroscope) jusqu’aux uretères ; elle permet d’aller chercher et d’extraire les calculs.
Urètre : canal qui évacue l’urine de la vessie vers le méat urétral et l’extérieur (canal excréteur de la vessie).
Urétroscopie : exploration de l’urètre à l’aide d’un endoscope, instrument flexible constitué de fibres optiques.
Uricémie : taux d’acide urique dans le sang.
Urographie intraveineuse : permet d’affirmer la présence d’une lithiase, de préciser le nombre et la localisation des calculs, de juger de leur retentissement sur le rein et la voie urinaire et de découvrir une éventuelle malformation associée.
Vessie : organe du système urinaire dont la fonction est de recevoir l’urine terminale produite par les reins puis de la conserver avant son évacuation au cours de la miction. L’urine arrive dans la vessie par les uretères et est émise via l’urètre.
Voies urinaires : elles comprennent les cavités pyélocalicielles, la vessie et l’urètre.
Les calculs urinaires sont assez fréquents, si bien qu’une personne sur dix en moyenne est touchée dans sa vie par cette problématique qui peut s’avérer très douloureuse et potentiellement cacher des soucis plus graves. Pour permettre une analyse précise des causes de l’apparition des calculs rénaux et pouvoir prévenir le phénomène de récidive, il est indispensable, recommandé, voire vital de collecter ceux que vous évacuez par les voies naturelles.
Les calculs rénaux sont souvent la conséquence d’un déséquilibre dans la composition des urines que l’on nomme aussi maladie lithiasique. Fabriqué au niveau des reins, un calcul rénal vient obstruer la circulation normale du système urinaire si bien que l’urine produite par le corps à tendance à s’accumuler dans l’organe, qui finit par gonfler, provoquant des douleurs souvent très intenses. On parle alors de colique néphrétique.
Les causes d’apparition des calculs rénaux peuvent être nombreuses selon des critères alimentaires, des facteurs d’hérédité, la présence d’agents infectieux ou une anomalie systémique dans l’appareil urinaire et dans la composition des urines.
Bien qu’assez douloureux, les calculs rénaux qui ne dépassent pas la taille de 6 millimètres sont généralement conduits de manière naturelle vers la vessie puis évacués spontanément. Cela ne veut toutefois pas dire qu’il faille les prendre à la légère mais au contraire, les récupérer afin de leur faire subir les analyses nécessaires (identification parmi 18 sortes de possibles) à l’établissement du diagnostic.
Pour éviter toute récidive, il est souvent recommandé aux personnes souffrant de calculs rénaux, d’augmenter leur apport en eau en s’hydratant davantage et de diminuer la consommation de certains aliments riches en oxalates ou en calcium tels que le sel par exemple.
Toutefois, pour être certain que la présence d’un calcul rénal ne traduit pas un mal plus conséquent, il est conseillé de le faire analyser et donc d’utiliser un flacon de récupération de calcul rénal pour être en mesure de le collecter de manière confortable.
Les filtres à café, compresses de gaze et autres boules à thé ou passoires étaient jusqu’à présent l’unique moyen de filtrer soi-même ses urines pour collecter un calcul rénal à but d’analyse. Aujourd’hui, l’innovation Pi-Box, avec son marquage CE et son brevet, permet de remédier à cette problématique en offrant aux patients ainsi qu’aux aidants, une solution unique qui permet de gagner en confort et en praticité d’utilisation.
Par nature, un calcul rénal met du temps à s’évacuer et ne prévient pas du moment de son expulsion. Il est donc nécessaire de reproduire le geste de tentative de récupération pendant la période de collecte (qui peut durer un mois) et tout au long de la miction. Le Pi-Box, peu encombrant, étanche est constitué notamment d’un entonnoir et d’un filtre, réutilisables, qui peuvent accompagner le patient avec discrétion 24 H/ 24 H en tous lieux.
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